Le président péruvien était jusqu’ici en détention préventive pour 18 mois. Mais « le pouvoir judiciaire estime que la demande du procureur est fondée », écrit Diario Correo : « 36 mois de prison préventive pour l’ex-président accusé d’être le leader d’une organisation criminelle, de trafic d’influence et de collusion pendant sa présidence ».

Selon le juge Juan Checkley Soria, cité par Peru 21, la peine totale de prison que risque Pedro Castillo pourrait atteindre les 32 ans. El Comercio rappelle que l’ex-président est déjà incarcéré dans la prison de Barbadillo depuis le mois de décembre, « pour rébellion présumée et conspiration en vue de perpétrer un coup d’État ». Son avocat a annoncé que Pedro Castillo, qu’il a présenté comme « victime de poursuites politiques », ferait appel.

Crédit-Photo: Le Temps.

Le FC Barcelone au coeur d’une nouvelle affaire judiciaire.

Ces poursuites, décidées par le parquet de Barcelone, visent le Barça en tant que personne morale, ainsi que Josep Maria Bartomeu, à la tête du FC Barcelone entre 2014 à 2020, et Sandro Rosell, président du club catalan entre 2010 et 2014. Oscar Grau et Albert Soler, membres de l’ancienne équipe de M. Bartomeu, sont également poursuivis.

Saisi par le fisc sur de possibles irrégularités dans le paiement des impôts d’une entreprise appartenant à Enriquez Negreira, le parquet avait ouvert une enquête préliminaire au printemps 2022 afin de vérifier le motif et le cadre de ces versements d’argent.

“Le FC Barcelone a obtenu et maintenu un accord verbal strictement confidentiel avec José Maria Enriquez Negreira afin que, en sa qualité de vice-président du comité technique arbitral (CTA) et en échange d’argent, ce dernier mène des actions tendant à avantager le FC Barcelone dans la prise de décision des arbitres”, a expliqué le parquet.

Crédit-Photo: But!Football Club.

29 colis de civelles ont été saisis à l’Aérogare Guy Malary.

Des agents de l’Administration générale des Douanes ont procédé, vendredi, à la saisie d’un aéronef et de 29 colis contenant des alevins d’anguilles vivants (civelles) à l’Aérogare Guy Malary.

Selon les informations disponibles, le chargement a été repéré lors d’une opération de fouille initiée par des agents douaniers.

La démarche de livrer les 29 colis de civelles vivantes semble avoir été exécutée dans des conditions qui violent les principes établis liés au transfert de colis dans les espaces douaniers d’Haïti.

Des informations font également état d’un aéronef saisi par la structure chargée de la surveillance douanière préposée dans l’Aérogare Guy Malary. L’appareil a été confisqué aux fins d’enquête.

L’exportation de cette espèce, en voie de disparition mais vendue à prix d’or en Asie, est réglementée d’une manière stricte par le ministère de l’Agriculture. Il reste aux autorités douanières d’établir les propriétaires des 29 colis suspects.

Crédit-Photo: France Bleu.