La veillée funèbre de Pelé, décédé jeudi 29 décembre à São Paulo à l’âge de 82 ans, aura lieu lundi 2 janvier au stade du Santos FC, club où le « Roi » a évolué durant presque toute sa carrière, et sa dépouille sera enterrée le lendemain, a annoncé le club. « La veillée funèbre du plus grand footballeur de tous les temps aura lieu au stade Urbano Caldeira, (dans le quartier de) Vila Belmiro, où il a émerveillé le monde », explique le Santos FC, où la légende du football a évolué de 1956 à 1974.

Un deuil de trois jours.

Le président brésilien Jair Bolsonaro a décrété un deuil de trois jours pour la mort jeudi du légendaire footballeur Pelé, dans un décret publié au Journal Officiel. «Le deuil officiel est décrété dans tout le pays (…), une marque de respect après le décès d’Edson Arantes do Nascimento, Pelé», des suites d’un cancer à 82 ans, peut-on lire dans ce décret.

Crédit-Photo: Actu Foot.

Vague de licenciements chez la PNH.

La direction générale de la Police nationale d’Haïti a opéré un véritable assainissement dans les finances de l’institution. Le directeur général Frantz Elbé, qui se vante d’avoir pris des mesures pour assainir l’administration de la police, a confié avoir retourné 10 825 chèques au ministère de l’Economie et des Finances totalisant 219 795 500 gourdes. 1 200 cartes de débit ont été annulées également, a souligné M. Elbé. Grâce à ces mesures d’assainissement, sans l’augmentation du budget, le chef de la PNH se félicite d’avoir augmenté à deux reprises les primes de risques des policiers.

Cet argent récupéré aide également les parents des policiers victimes à l’exercice de leur fonction, a indiqué le DG de la PNH, soulignant par ailleurs que 1 432 fonctionnaires ont été licenciés durant l’année 2022 parmi lesquels 1 254 policiers et 174 employés administratifs pour diverses raisons.

Peine record pour Aung San Suu Kyi.

La dirigeante birmane déchue Aung San Suu Kyi a été condamnée par un tribunal de la junte à sept ans de prison supplémentaires pour corruption, dans le dernier volet de son procès-fleuve qui s’achève ce vendredi 30 décembre.

Jugée dans un centre pénitentiaire de la capitale Naypyidaw, où elle a été placée à l’isolement, la célèbre opposante âgée de 77 ans doit passer un total de 33 années derrière les barreaux, au terme de la procédure de 18 mois qualifiée de politique par les défenseurs des droits humains.

Un tribunal militaire de la capitale Naypyidaw, qui siège exceptionnellement dans le centre pénitentiaire où Aung San Suu Kyi a été placée à l’isolement, a reconnu ce vendredi 30 décembre l’ancienne dirigeante coupable des cinq derniers chefs d’accusation de corruption qui la visaient. Selon une source judiciaire de l’AFP, elle est apparue au tribunal en « bonne santé ».

Dans une affaire de location d’hélicoptère pour un ministre, elle était accusée de ne pas avoir respecté les règles et d’avoir causé « une perte pour l’État ».