Le cercueil de la reine sera transporté à Londres par avion mardi soir. Il reposera au palais de Westminster à partir du 14 septembre, suivant un protocole très précis nommé “London Bridge”.
Pendant quatre jours, des centaines de milliers de Britanniques sont attendus pour rendre hommage à la reine, dans une lente procession passant dans Westminster Hall, accessible vingt-trois heures par jour.
La queue prévue pourrait s’étirer sur des kilomètres, passant sur le pont de Vauxhall puis de l’autre côté de la Tamise. Les députés auront la priorité, ainsi que de nombreuses personnalités et têtes couronnées.
Au moins trois personnes ont été tuées par balle, le samedi 10 septembre, à Cité Soleil. Christelle Delva, une adolescente de 17 ans, Frantzsen Charles et Tayson Latigue, deux journalistes qui faisaient un reportage sur la situation sécuritaire de la commune, ont été tués.
Les Haïtiens dans les rues de Port-au-Prince et des villes de province
Quelques heures après l’allocution du premier ministre de facto Ariel Henry, visant à réviser à la hausse le prix des produits pétroliers, plusieurs villes du pays ont connu des heures de tension, lundi.
Les Cayes, Jacmel, Cap-Haïtien, Petit-Goâve, Mirebalais, Jérémie, entre autres, ont entamé des mouvements de protestation contre la rareté des produits pétroliers dans les stations-services, la mauvaise gouvernance du pouvoir en place, l’insécurité alimentaire généralisée programmée, et réclamer le départ d’Ariel Henry du pouvoir.
Les protestataires réclament la démission du chef du gouvernement Ariel Henry, dénoncent la cherté de la vie, l’insécurité, la rareté des produits pétroliers dans les stations-services et de la disponibilité de l’électricité.
La commune de Delmas vient s’ajouter à la liste des villes en effervescence.
En effet, aux environs de quatre heures lundi après-midi, des résidents de la commune de Delmas, se trouvant dans l’arrondissement de Port-au-Prince, ont entamé un mouvement de protestation contre la prévision d’ajustement des prix des produits pétroliers, par le gouvernement que dirige Ariel Henry.
Open d’Australie: l’avenir de Novak Djokovic va-t-il s’éclaircir
Privé de deux tournois du Grand Chelem cette saison (Australie et US Open) en raison de sa non-vaccination contre le Covid 19, le Serbe avait été expulsé d’Australie après un incroyable scénario.
La loi australienne prévoit que, dans ce cas de figure, la personne concernée est interdite d’entrée sur le territoire australien durant trois ans. Ce qui pourrait potentiellement laisser penser que Novak Djokovic a peut-être joué son dernier Majeur à Melbourne en 2021. Un tournoi qu’il avait d’ailleurs remporté.
Mais la donne pourrait changer très rapidement avec l’arrivée d’un nouveau Premier ministre, Anthony Albanese. Mordu de tennis, il ne veut pas que le prochain Majeur australien se déroule sans le nonuple vainqueur à Melbourne, selon le Daily Mail. Le pays a d’ailleurs assoupli certaines de ses mesures de sécurité et les personnes non-vaccinées sont autorisées à entrer dans le pays.