Faute de s’être vacciné, Djokovic avait été expulsé d’Australie en janvier, sans pouvoir défendre son titre à l’Open d’Australie, à Melbourne, avant que son grand rival Rafael Nadal n’emporte son 21e tournoi du Grand Chelem, un record chez les hommes, car un de plus que « Djoko » et Roger Federer.
« Oui, c’est le prix que je suis prêt à payer », a dit le Serbe sur l’éventualité d’une absence aux tournois parisien et londonien. Il ne souhaite pas être associé au mouvement anti-vax mais défend le droit de chaque individu à choisir ce qui est injecté dans son corps.
« Je n’ai jamais été contre la vaccination », a-t-il ajouté, en indiquant qu’il avait déjà été vacciné, dans sa jeunesse. « Mais j’ai toujours soutenu la liberté de choisir ce que l’on met dans son propre corps. Ce principe est plus important pour moi que n’importe quel titre. »
« J’essaie d’être en phase avec mon corps, autant que possible », a aussi déclaré Djokovic dans ume interview, la première depuis qu’il a quitté Melbourne, visa annulé par les autorités australiennes. « J’étais triste et déçu », a-t-il résumé au sujet de cette saga du début d’année.