La victoire de Joe Biden à la présidentielle américaine a été accueillie avec une immense joie à Hollywood. Sur les réseaux sociaux, les stars – d’Ariana Grande à Arnold Schwarzenegger en passant par Lady Gaga, Mark Hamill, Spike Lee et Sacha Baron Cohen – se sont réjouies de la défaite de Donald Trump.

Beaucoup de stars se sont amusées à partager des images de Donald Trump dans The Apprentice, son émission de télé réalité où sa phrase culte était”: “Vous êtes viré!” D’autres, comme Kim Kardashian, ont été plus sobres, partageant des photos du futur président et de sa vice-présidente avec en légende des cœurs.

“Le cauchemar est terminé”, “Je suis en pleurs”, “C’est un moment historique pour l’histoire de notre nation”… Les stars ont éructé de joie samedi après l’annonce des résultats. “Bravo à tous! Nous avons travaillé durement pour en arriver là”, a résumé Mark Ruffalo, connu pour son rôle de Hulk dans les films Marvel.

‘’James Bond’’ : Geoffrey Palmer, l’amiral Roebuck dans Demain ne meurt jamais est décédé

L’acteur britannique Geoffrey Palmer, qui a joué l’amiral Roebuck dans Demain ne meurt jamais (1997), la deuxième aventure de James Bond avecPierce Brosnan, est mort à l’âge de 93 ans. Ce comédien prolifique et versatile était connu pour son “air de chien abattu” et le “caractère grincheux” de ses personnages, note la BBC.

Très actif, Geoffrey Palmer est apparu dans plus de 120 séries. On a pu le voir dans Chapeau melon et bottes de cuir, Doctor Who ou encoreHercule Poirot. Au cinéma, il a joué notamment dans Zoo de Peter Greenaway (1985), Un poisson nommé Wanda (1988) et Paddington(2014).

Agent 007 : Lashana Lynch cible de critiques

Nouveau visage de la saga James Bond, Lashana Lynch a confié avoir été la cible de vives critiques lorsque sa participation au prochain film a été annoncée. Dans No Time To Die, l’actrice britannique incarne Nomi,nouvel agent 007 qui remplace par intérim James Bond alors qu’il s’est exilé.

Dans un entretien publié dans le magazine Harper’s Bazaar, Lashana Lynch a raconté qu’être la première femme noire à incarner un agent avec le fameux “permis de tuer” n’est pas une chose aisée.

Quand son rôle a été dévoilé courant 2019, la comédienne de 32 ans a subi sur les réseaux sociaux harcèlement, et attaques racistes et misogynes. Résultat des courses, elle a préféré supprimer ses comptes le temps que les choses se calment.

Eminem a-t-il offert sur un plateau le Michigan à Joe Biden?

Si les fans du rappeur en sont persuadés, ils n’ont peut-être pas tout à fait tort. Le rappeur qui a grandi à Detroit, la plus grande ville de cet État remporté par Joe Biden lors du scrutin de la présidentielle américaine, a en tout cas donné un coup de pouce au candidat démocrate, juste avant l’élection qui l’oppose à Donald Trump, candidat à sa réélection.

L’interprète de Without Me l’a autorisé à utiliser Lose Yourself, le morceau phare du film 8 Mile, sacré meilleure chanson originale aux Oscars en 2003.

Joe Biden a publié un spot de campagne dans lequel on entend le titre du rappeur lundi, à la veille du scrutin. Ce dernier a lui aussi partagé la vidéo à ses 22,8 millions d’abonnés.

“Une seule opportunité…”, a-t-il ajouté en légende. Deux jours plus tard, Joe Biden a remporté les 16 grands électeurs de cet État, pourtant remporté par Donald Trump en 2016.

La folle histoire d’un journal

Raconter l’histoire de Charlie Hebdo, c’est retracer un demi-siècle de luttes contre la censure. C’est aussi mettre en scène l’éclosion de certains des plus grands dessinateurs de la seconde moitié du XXème siècle et du début du XXIème.

C’est ce récit que propose l’historien Christian Delporte dans Charlie Hebdo, la folle histoire d’un journal pas comme les autres (Flammarion), disponible en librairies à partir de ce mercredi 4 novembre.

Ce livre, dont la couverture verte rappelle immanquablement celle du numéro des survivants, paru le 14 janvier 2015, une semaine après les attentats, vise dans le brouhaha actuel à rétablir la vérité historique autour de la création de Charlie Hebdo.

Christian Delporte rappelle le caractère unique au monde de l’hebdomadaire satirique, qui n’a “pas de ligne éditoriale, mais des valeurs”, édictées par François Cavanna. Le dessin est au centre de Charlie. Ses journalistes en ont exploré toutes les possibilités pour raconter l’actualité.

C’est aussi par le dessin queCharlie Hebdo est mort, puis s’est relevé. Il est le témoin de l’histoire “folle” de ce “journal pas comme les autres”.