L’un de ses responsables a affirmé que des négociations étaient encore nécessaires. Mais cela n’a pas empêché Donald Trump de réagir rapidement via son réseau Truth Social.
Le président américain a jugé que le Hamas était « prêt pour une paix durable ». « Israël doit arrêter immédiatement les bombardements à Gaza, pour que nous puissions faire sortir les otages rapidement et en toute sécurité », a-t-il ajouté.
L’appel du locataire de la Maison Blanche, qui demande à son allié israélien de cesser de bombarder Gaza, est « encourageant », a estimé en réponse le mouvement palestinien, qui se dit prêt à négocier immédiatement en vue de la libération des otages et de la fin de la guerre commencée il y a bientôt deux ans. Malgré l’avertissement de Donald Trump, les bombardements israéliens sur l’enclave se poursuivent ce samedi et ont fait déjà plusieurs victimes, selon les autorités locales et la Défense civile : dans la ville de Gaza au nord et dans le camp de Khan Younès au sud.
Sous pression et affaibli, le mouvement islamiste s’est dit hier être prêt à libérer les 48 otages restants – dont seulement une vingtaine seraient encore en vie – mais sous conditions. Et ce samedi matin, le mouvement islamiste annonce être prêt à « finaliser toutes les questions ». L’Égypte va accueillir une conférence palestinienne sur l’avenir de Gaza, annonce encore un responsable du Hamas.
Affaire Gérald Nicolas: Washington félicite Ottawa Les États-Unis d’Amérique ont salué la condamnation, prononcée le mercredi 1er octobre 2025, au Canada, de Gérald Nicolas, citoyen canadien d’origine haïtienne, à cinq ans d’emprisonnement pour son implication dans une affaire liée au terrorisme, selon une note officielle publiée par l’ambassade américaine le vendredi 3 octobre.
Le gouvernement américain félicite le Canada pour avoir tenu Gérald Nicolas responsable de ses tentatives d’incitation à la violence et de déstabilisation en Haïti, estimant que « cette action décisive constitue une avancée majeure vers la fin de l’impunité et la promotion de la paix ».
Tout en saluant l’engagement du Canada en faveur de la justice, les États-Unis appellent l’ensemble des nations à suivre cet exemple et à tenir pour responsables celles et ceux qui menacent la stabilité régionale.
« L’ère de l’impunité est révolue ! »
La Cour supérieure du Québec a condamné Gérald Nicolas à cinq ans de prison pour avoir quitté le Canada dans l’intention de faciliter une activité terroriste, et pour avoir effectivement facilité une telle activité, a indiqué le Service des poursuites pénales du Canada (Sppc) [1], dans une note distincte.
Reconnu coupable de l’ensemble des chefs d’accusation le 12 mars 2025, Nicolas aurait, entre 2020 et 2021, tenté par divers moyens de provoquer une révolution armée visant à renverser le gouvernement haïtien du président Jovenel Moïse, assassiné le 7 juillet 2021 à son domicile de Pèlerin 5, dans la commune de Pétionville (à l’est de Port-au-Prince).
Selon les autorités, Gérald Nicolas se serait rendu en République Dominicaine et en Haïti pour mettre son plan à exécution.
Il aurait tenté de se procurer des armes à feu, recruté des personnes pour rejoindre son mouvement, fourni des fonds à des collaborateurs et loué des terres près de la frontière afin d’y établir une base d’opérations.
Le directeur des poursuites publiques, George Dolhai, a qualifié cette affaire de « complot visant à compromettre la stabilité d’un gouvernement étranger ».
« Quiconque est prêt à prendre des mesures pour inciter à des conflits armés afin d’atteindre ses objectifs, que ce soit au Canada ou à l’étranger, sera traduit en justice », a-t-il averti.
La condamnation de Gérald Nicolas intervient dans un contexte où Haïti est plongée dans une grave crise sécuritaire, exacerbée par la prolifération de gangs armés qui contrôlent une grande partie du territoire.
Affaire Gérald Nicolas: Washington félicite Ottawa Les États-Unis d’Amérique ont salué la condamnation, prononcée le mercredi 1er octobre 2025, au Canada, de Gérald Nicolas, citoyen canadien d’origine haïtienne, à cinq ans d’emprisonnement pour son implication dans une affaire liée au terrorisme, selon une note officielle publiée par l’ambassade américaine le vendredi 3 octobre.
Le gouvernement américain félicite le Canada pour avoir tenu Gérald Nicolas responsable de ses tentatives d’incitation à la violence et de déstabilisation en Haïti, estimant que « cette action décisive constitue une avancée majeure vers la fin de l’impunité et la promotion de la paix ».
Tout en saluant l’engagement du Canada en faveur de la justice, les États-Unis appellent l’ensemble des nations à suivre cet exemple et à tenir pour responsables celles et ceux qui menacent la stabilité régionale.
« L’ère de l’impunité est révolue ! »
La Cour supérieure du Québec a condamné Gérald Nicolas à cinq ans de prison pour avoir quitté le Canada dans l’intention de faciliter une activité terroriste, et pour avoir effectivement facilité une telle activité, a indiqué le Service des poursuites pénales du Canada (Sppc) [1], dans une note distincte.
Reconnu coupable de l’ensemble des chefs d’accusation le 12 mars 2025, Nicolas aurait, entre 2020 et 2021, tenté par divers moyens de provoquer une révolution armée visant à renverser le gouvernement haïtien du président Jovenel Moïse, assassiné le 7 juillet 2021 à son domicile de Pèlerin 5, dans la commune de Pétionville (à l’est de Port-au-Prince).
Selon les autorités, Gérald Nicolas se serait rendu en République Dominicaine et en Haïti pour mettre son plan à exécution.
Il aurait tenté de se procurer des armes à feu, recruté des personnes pour rejoindre son mouvement, fourni des fonds à des collaborateurs et loué des terres près de la frontière afin d’y établir une base d’opérations.
Le directeur des poursuites publiques, George Dolhai, a qualifié cette affaire de « complot visant à compromettre la stabilité d’un gouvernement étranger ».
« Quiconque est prêt à prendre des mesures pour inciter à des conflits armés afin d’atteindre ses objectifs, que ce soit au Canada ou à l’étranger, sera traduit en justice », a-t-il averti.
La condamnation de Gérald Nicolas intervient dans un contexte où Haïti est plongée dans une grave crise sécuritaire, exacerbée par la prolifération de gangs armés qui contrôlent une grande partie du territoire.