L’Argentine, notamment grâce au 5e but de Messi, s’est invitée pour la 6e fois en finale du Mondial après sa victoire (3-0) mardi contre la Croatie, incapable de reproduire son exploit de 2018 et trahie au pire moment par sa défense.

L’Albiceleste, qui tentera dimanche face à la France ou au Maroc d’être sacrée pour la 3e fois après sa déception de 2014, s’est rapidement détachée en demi-finale avec ce nouveau penalty de la “Pulga” (34e) suivi d’un doublé d’Alvarez (39e, 69e), dont les contre-attaques ont fragilisé des “Vatreni” cette fois sans réaction.

L’option d’une intervention en Haïti reste dans les cartons du Canada.

 Le premier ministre canadien Justin Trudeau a assuré que son pays reste déterminé à jouer un rôle de leader dans une éventuelle intervention de la communauté internationale en Haïti. Lors d’une entrevue de fin d’année accordée à La Presse canadienne, le chef du gouvernement a plaidé pour une nouvelle approche en Haïti. Ce, argue-t-il, afin de ne pas répéter les erreurs du passé.

« Notre rôle est de voir comment on peut aider et on ne peut plus être naïfs là-dedans. Si on voulait bien aider au cours des dernières années, mais que ça a donné ce qu’on voit maintenant, il faut qu’on ait une nouvelle approche », a déclaré Trudeau. « On a une longue histoire en Haïti et on se retrouve quand même, 30 ans plus tard, dans une crise aussi grave sinon pire que les autres. »

Le Canada a adopté des sanctions contre une dizaine de personnalités de la classe politique et du secteur des affaires, soupçonnées d’encourager ou de financer les activités des gangs armés. Ces sanctions, selon Trudeau, participent de cette nouvelle approche.

Il a invité les autres pays à suivre l’exemple du Canada. « On emmène les États-Unis et peut-être même l’Europe à (mettre de l’avant) leurs propres sanctions aussi », a-t-il dit, soulignant que la liste des personnes sanctionnées va s’allonger.

Pérou: Le président renversé Pedro Castillo reste en prison.

La justice péruvienne a rejeté mardi la demande de libération de l’ancien président Pedro Castillo, accusé de « rébellion et conspiration » après sa tentative de dissoudre l’Assemblée nationale, qui restera donc en prison. « Déclare infondé le recours en l’appel introduit par la défense » du président destitué arrêté le 7 décembre, a indiqué le juge César San Martin en lisant sa décision.