C’est un gros coup dur pour Paul Pogba et pour l’équipe de France de football mais pas une surprise, en revanche : le milieu de terrain âgé de 29 ans ne disputera pas la Coupe du monde 2022, prévue du 20 novembre au 18 décembre au Qatar et au cours de laquelle les Bleus tenteront de défendre leur titre.

Le champion du monde 2018, qui n’a plus disputé de match officiel depuis une rencontre de Championnat d’Angleterre le 19 avril dernier, tentait depuis de se remettre d’une blessure à un genou survenue face à Liverpool.

Opéré d’un ménisque en septembre, le joueur, transféré cet été de Manchester United à la Juventus Turin, s’était néanmoins lancé dans une course contre la montre pour être rétabli à temps pour le prochain Mondial. En vain.

« Après des examens médicaux hier (dimanche) et aujourd’hui (lundi), il est extrêmement douloureux d’informer que Paul Pogba aura encore besoin de rééducation après son opération. Pour cette raison, Paul ne pourra pas rejoindre (…) l’équipe de France au Qatar », a indiqué son avocate et agente Rafaela Pimenta dans un communiqué.

Royaume-Uni: un animateur de radio meurt à l’antenne.

Un animateur de radio britannique Tim Gough est décédé le 24 octobre à 55 ans alors qu’il était à l’antenne lors de son émission de petit-déjeuner du matin.

Selon un communiqué de presse de GenX Radio Suffolk, Gough a subi une crise cardiaque présumée à 7 h 50 à son studio personnel de Lackford, Suffolk.

A 55 ans, Tim Gough était un animateur très apprécié des fans et de ses collègues. Depuis l’annonce de sa disparition subite, les hommages s’enchaînent au Royaume-Uni, sans que les causes de sa mort ne soient communiquées.

L’animateur vedette du morning avait débuté son émission sans se douter qu’il allait mourir en direct.

Tim était aux commandes de son émission en direct tôt le lundi 24 octobre, qu’il avait démarré une heure plus tôt, lorsqu’il a lancé un titre qui s’est brusquement interrompu.

Avant d’être assassiné, Eric Jean Baptiste participait à une rencontre avec Clarens Renois et plusieurs autres acteurs politiques.

Avant d’être assassiné, Eric Jean Baptiste participait à une rencontre avec Clarens Renois et plusieurs autres acteurs politiques en quête d’un compromis pour sortir le pays de la crise qu’il traverse.

Pour Clarens Renois, leader de l’Union nationale pour l’intégrité et la réconciliation (UNIR), Eric Jean Baptiste a été certainement une cible. « Nous ne pouvons pas penser à l’insécurité généralisée. Eric avait pris toutes les précautions.

C’est un monsieur qui était ciblé. C’est la conclusion que personnellement je tire », a déclaré Clarens Renois ce lundi 31 octobre 2022. « Il n’est pas facile d’abattre un véhicule blindé », a fait remarquer l’homme politique qui présente Eric Jean Baptiste comme un patriote, un homme qui avait le pays dans le sang.

« Nous sommes dans un environnement pourri, où certains pensent que c’est en éliminant les autres qu’ils vont résoudre la crise, qu’ils vont faire taire les autres », a regretté Clarens Renois. Selon le responsable du parti politique UNIR, avec Eric Jean Baptiste, ils cherchaient un large compromis pour mettre fin à cette crise aux conséquences multiples sur le pays. À en croire Clarens Renois, ils vont certainement continuer dans cette voie.

« Je pense que notre engagement est plus fort.

Je suis inquiet, mais je ne crains pas de continuer le travail de porteur de la voix de modération. Il faut que d’autres voix rejoignent nos voix pour continuer à porter une parole qui peut accoucher d’un changement durable dans le pays », a affirmé Clarens Renois.

« Il y a une situation tellement délétère dans le pays que chacun est un ennemi pour l’autre. Ce n’est pas possible », dénonce le leader de l’UNIR. « Est-ce qu’il n’y a pas une volonté de pourrir la situation dans le pays, de montrer que le danger est partout en vue de provoquer le plus vite que possible l’arrivée d’une force étrangère dans le pays », s’interroge Renois.

Concernant la réaction du premier ministre Ariel Henry qui, dans un tweet, a dit condamner l’assassinat du secrétaire général du RDNP, Clarens Renois est catégorique : « un dirigeant ne condamne pas. Il agit », a lancé M. Renois. « Condamner ne veut rien dire par rapport à la mort d’un homme, un homme qui avait la prétention de diriger ce pays », a soutenu Clarens Renois.