Meta, la maison-mère de Facebook, a démantelé de nouveaux réseaux malveillants qui utilisaient les débats sur les vaccins pour harceler des professionnels ou semer la division dans certains pays, un signe que la désinformation sur la pandémie, propagée à des fins politiques, ne faiblit pas.

Les auteurs de cette opération se coordonnaient notamment via la messagerie Telegram, où les volontaires avaient accès à des listes de personnes à cibler et à des “formations” pour échapper à la détection automatique par Facebook.