“Cette nouvelle plateforme sera quelque chose de gros, tout le monde le veut”, a déclaré un de ses proches, Jason Miller, auprès des médias américains.
La suspension de son compte par Twitter en janvier avait fait couler beaucoup d’encre. L’ancien président des États-Unis Donald Trump va faire son retour sur les réseaux sociaux d’ici trois mois avec “sa propre plateforme”, a déclaré dimanche un de ses conseillers.
Ce dernier n’a pas souhaité fournir davantage de précisions sur les contours de cette “plateforme”, évoquant seulement de nombreuses réunions à Mar-a-Lago, la résidence du milliardaire républicain en Floride.
Covid-19: Manifestations un peu partout dans le monde contre les restrictions sanitaires
Des milliers de personnes se sont réunies dans plusieurs villes d’Europe ce samedi pour protester contre les restrictions en vigueur dans le cadre de la lutte contre le coronavirus.
Des manifestations ont rassemblé  samedi des milliers de personnes en Allemagne, en Suisse, en Grande-Bretagne, en Bulgarie en Autriche ou encore au Canada pour dénoncer la “dictature” des restrictions sanitaires contre la pandémie.
Des heurts ont par ailleurs éclaté avec la police dans la ville allemande de Cassel.
Dans cette ville du centre de l’Allemagne, entre 15.000 et 20.000 personnes ont participé à la manifestation, a déclaré un porte-parole de la police locale. Les affrontements se sont produits quand des contestataires qui s’étaient retrouvés sur une place du centre, serrés les uns contre les autres, sans masques de protection, ont tenté de se frayer un passage à travers un cordon de policiers pour se joindre à d’autres mécontents. Les forces de l’ordre ont alors fait usage de gaz au poivre pour les disperser.
Joe Biden dénonce les violences contre la communauté asiatique
Les violences à l’endroit des communautés asiatiques aux États-Unis « doivent cesser », a martelé vendredi le président américain Joe Biden depuis la Georgie, quelques jours après qu’un tireur eut assassiné huit personnes dans des salons de massage de la région d’Atlanta.
La haine n’a pas sa place aux États-Unis, a déclaré le président Biden au terme d’un entretien auquel participaient la mairesse d’Atlanta, Keisha Lance Bottoms, des représentants de l’État et des activistes.
Entendre certains d’entre eux raconter leur histoire – la représentante Bee Nguyen, par exemple, a confié avoir été la cible de menaces de mort – et partager la peur qui les habite était crève-cœur, a dit M. Biden.
Aux yeux du président, il revient à tous les Américains de faire leur part afin de dénoncer cette violence. Notre silence est complice; nous ne pouvons être complices, a-t-il insisté.