Environ 900 salari\u00e9s ont \u00e9t\u00e9 convi\u00e9s par leur patron \u00e0 participer \u00e0 une visioconf\u00e9rence. \u00ab Si vous faites partie de cet appel, c\u2019est que vous faites partie des malchanceux qui sont licenci\u00e9s. Votre contrat prend fin avec effet imm\u00e9diat \u00bb, avait annonc\u00e9 sur un ton laconique Vishal Garg, PDG de Better.com, un courtier en pr\u00eats immobiliers.<\/p>\n
La r\u00e9union de travail est devenue un cauchemar. \u00ab Ce n\u2019est pas possible \u00bb, lance une salari\u00e9e qui a film\u00e9 le tout sur Zoom et qui peine \u00e0 croire ce qu\u2019elle vient d\u2019\u00eatre licenci\u00e9e.<\/p>\n
Vishal Garg invoque la conjoncture et les difficult\u00e9s de l\u2019entreprise pour expliquer sa d\u00e9cision. Pourtant la soci\u00e9t\u00e9 new-yorkaise est valoris\u00e9e \u00e0 sept milliards de dollars et vient d\u2019\u00eatre renflou\u00e9e de 750 millions de dollars par ses investisseurs historiques, Softbank et Aurora Acquisition, selon le quotidien \u00e9conomique Les \u00c9chos<\/a>.<\/p>\n