{"id":10163,"date":"2019-10-04T06:13:26","date_gmt":"2019-10-04T10:13:26","guid":{"rendered":"http:\/\/gamaxlive.com\/?p=10163"},"modified":"2019-10-04T06:13:26","modified_gmt":"2019-10-04T10:13:26","slug":"60-des-americains-pensent-que-les-reseaux-sociaux-ont-un-pouvoir-excessif","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/gamaxlive.com\/2019\/10\/04\/60-des-americains-pensent-que-les-reseaux-sociaux-ont-un-pouvoir-excessif\/","title":{"rendered":"60% des Am\u00e9ricains pensent que les r\u00e9seaux sociaux ont un pouvoir excessif"},"content":{"rendered":"\n

La majorit\u00e9 des Am\u00e9ricains pensent que les r\u00e9seaux sociaux ont trop de contr\u00f4le sur l’information, selon une \u00e9tude publi\u00e9e ce mercredi. <\/strong><\/p>\n\n\n\n

La majorit\u00e9 des Am\u00e9ricains (plus de 60%) estime que les r\u00e9seaux sociaux<\/a> ont trop de contr\u00f4le sur l’information qu’ils voient, estime une \u00e9tude publi\u00e9e mercredi par le Pew Research Center.<\/p>\n\n\n\n

Pourtant, 55% des adultes am\u00e9ricains d\u00e9clarent obtenir leurs informations “souvent ou parfois” sur les r\u00e9seaux sociaux, contre 47% en 2018.<\/p>\n\n\n\n

Une perception diff\u00e9rente pour les r\u00e9publicains<\/h2>\n\n\n\n

L’\u00e9tude met en avant les inqui\u00e9tudes croissantes sur la mani\u00e8re dont les r\u00e9seaux fa\u00e7onnent l’info. Certains internautes, \u00e0 commencer par le pr\u00e9sident Donald Trump,<\/a> se plaignent que les plateformes soient, selon eux, partiales.<\/p>\n\n\n\n

Les r\u00e9publicains ont d’ailleurs une perception en g\u00e9n\u00e9ral plus n\u00e9gative des r\u00e9seaux sociaux que les d\u00e9mocrates: les trois quarts d’entre eux pensent qu’ils exercent trop de contr\u00f4le sur l’actualit\u00e9, contre 53% des d\u00e9mocrates et de leurs partisans.<\/p>\n\n\n\n

17% apprennent les nouvelles sur Twitter
D’apr\u00e8s l’\u00e9tude, la moiti\u00e9 des adultes am\u00e9ricains consultent des informations sur Facebook<\/a>. Plus d’un quart regardent des vid\u00e9os d’info sur YouTube (Google), 17% apprennent des nouvelles sur Twitter et 14% sur Instagram.<\/a><\/h2>\n\n\n\n

Mais 80% des personnes interrog\u00e9es estiment que les plateformes ne r\u00e9f\u00e9rencent pas tous les m\u00e9dias de la m\u00eame fa\u00e7on, et une majorit\u00e9 \u00e9crasante pensent qu’elles mettent en avant les publications qui produisent des “articles qui capturent l’attention”.<\/p>\n\n\n\n

Mars tremble, vous pouvez l’\u00e9couter<\/h1>\n\n\n\n

La Nasa vient de publier deux enregistrements sonores de secousses martiennes, \u00e0 \u00e9couter en ligne depuis la Terre. <\/strong><\/p>\n\n\n\n

Les “battements de c\u0153ur” de la plan\u00e8te Mars. Le robot InSight de la Nasa arriv\u00e9 en novembre 2018 sur Mars a enregistr\u00e9 de multiples secousses sismiques que les Terriens peuvent d\u00e9sormais \u00e9couter ici<\/a> et l\u00e0<\/a>. Il s’agit de deux fichiers sonores de secousses datant du 22 mai et du 25 juillet, enregistr\u00e9es gr\u00e2ce au sismom\u00e8tre ultrasensible fourni par l’agence spatiale fran\u00e7aise CNES.<\/p>\n\n\n\n

Vibrations “trop basses pour l’oreille humaine”<\/h2>\n\n\n\n

Car la plan\u00e8te n’est pas morte et “respire” encore de mani\u00e8re t\u00e9nue, explique le CNES. La fr\u00e9quence des vibrations est trop basse pour l’oreille humaine, et les secousses trop faibles pour \u00eatre ressenties. Les enregistrements ont donc \u00e9t\u00e9 “l\u00e9g\u00e8rement” trait\u00e9s et acc\u00e9l\u00e9r\u00e9s pour devenir audibles gr\u00e2ce \u00e0 une technique dite de “sonification”, r\u00e9alis\u00e9e par des chercheurs de l’Institut de physique du Globe de Paris.<\/p>\n\n\n\n

Ils sont repr\u00e9sentatifs des 21 \u00e9v\u00e9nements dont les scientifiques sont quasi-s\u00fbrs qu’il s’agit de s\u00e9ismes, sur une centaine d’\u00e9v\u00e9nements d\u00e9tect\u00e9s.<\/p>\n\n\n\n

Indices sur la composition de la cro\u00fbte martienne<\/h2>\n\n\n\n

Avec un casque audio, on entend donc un grondement l\u00e9ger, un bourdonnement peu spectaculaire \u00e0 premi\u00e8re \u00e9coute, mais dont les scientifiques tirent d\u00e9j\u00e0 des conclusions sur la composition de la cro\u00fbte martienne. Cette cro\u00fbte est sans doute comparable \u00e0 “un m\u00e9lange de la cro\u00fbte de la Terre et de celle de la Lune”, \u00e9crit le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa.<\/p>\n\n\n\n

Les failles dans la Terre se referment relativement rapidement gr\u00e2ce \u00e0 l’eau qui s’y infiltre, ce qui permet aux ondes de traverser les vieilles fractures sans interruption et de filer \u00e0 travers la cro\u00fbte. A l’inverse, la cro\u00fbte lunaire est “plus s\u00e8che”, les failles ne se referment pas vite et les ondes se propagent pendant des dizaines de minutes au lieu d’aller en ligne droite. <\/p>\n\n\n\n

Mars ressemble plus \u00e0 la Lune, et les ondes sismiques s’y propagent pendant environ une minute, “tandis que les s\u00e9ismes sur Terre peuvent appara\u00eetre et dispara\u00eetre en quelques secondes”, poursuit le JPL.\u00a0Les \u00e9quipes g\u00e9rant le sismom\u00e8tre n’en sont qu’au d\u00e9but de leur exploration du sous-sol, dont ils entendent un jour d\u00e9couvrir la composition compl\u00e8te, notamment du noyau.<\/p>\n\n\n\n


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P\u00e9trole: l’\u00c9quateur va quitter l’OPEP<\/h1>\n\n\n\n

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L’Organisation des pays exportateurs de p\u00e9trole va perdre de nouveau un de ses membres, l’\u00c9quateur, en janvier prochain. L’\u00c9tat sud-am\u00e9ricain, tr\u00e8s endett\u00e9, ne veut plus \u00eatre contraint par les quotas de production de l’OPEP.<\/p>\n\n\n\n

L’\u00c9quateur l’a annonc\u00e9 lundi, il quittera l’OPEP<\/strong><\/a>en janvier. Le pays sud-am\u00e9ricain, qui a d\u00fb faire appel au Fonds mon\u00e9taire international, souhaite augmenter librement sa production de p\u00e9trole, pour remplir les caisses de l’\u00c9tat.<\/p>\n\n\n\n

Nouveau revers pour l’OPEP<\/strong><\/p>\n\n\n\n

Or l’OPEP contraint ses membres \u00e0 r\u00e9duire<\/strong><\/a>leur production p\u00e9troli\u00e8re, depuis d\u00e9but 2017, pour soutenir les cours mondiaux.
L’\u00c9quateur avait demand\u00e9 \u00e0 l’organisation de pouvoir \u00e9chapper \u00e0 cette contrainte, en f\u00e9vrier dernier. Visiblement sans succ\u00e8s. L’\u00c9quateur s’en va. Il officialise une situation de fait : pas un seul mois de l’ann\u00e9e 2019, le pays n’a respect\u00e9 les quotas impos\u00e9s par le cartel.<\/p>\n\n\n\n

L’\u00c9quateur pesait assez peu au sein de l’OPEP : 540 000 barils par jour, loin des millions de barils produits par chacun des pays du Golfe. L’\u00c9quateur n’\u00e9tait que le 11\u00e8me producteur du cartel sur 14, devant le Congo, le Gabon et la Guin\u00e9e \u00c9quatoriale. Membre du club depuis 1973, il avait certes d\u00e9j\u00e0 quitt\u00e9 l’OPEP en 1992 pour y revenir en 2007. Mais il annonce qu’il reprend sa libert\u00e9 moins d’un an apr\u00e8s le d\u00e9part du Qatar<\/a>. Symboliquement pour l’OPEP, c’est un nouveau revers, le front du cartel continue de se l\u00e9zarder en interne. De l’ext\u00e9rieur, la Russie est l\u00e0 pour l’\u00e9tayer un peu.<\/p>\n\n\n\n

Feu vert de l’\u00c9quateur aux investisseurs<\/strong><\/p>\n\n\n\n

Le retrait de l’OPEP est avant pour l’\u00c9quateur un feu vert aux investisseurs p\u00e9troliers. Alors que dans les pays voisins, Venezuela, Mexique, les portes se ferment, l’\u00c9quateur esp\u00e8re organiser des ench\u00e8res l’an prochain pour d\u00e9velopper le bloc ITT (Ishpingo-Tambococha-Tiputini), pr\u00e8s de la fronti\u00e8re p\u00e9ruvienne. M\u00eame s’il est situ\u00e9 aux confins du parc national Yasuni, et que le projet provoque des manifestations.<\/p>\n\n\n\n

Le gouvernement de Lenin Moreno a mis en place des contrats de partage de production, tr\u00e8s favorables aux compagnies \u00e9trang\u00e8res. Une politique \u00e0 rebours de celle de son pr\u00e9decesseur, Rafael Correa, qui taxait fortement la production de p\u00e9trole et avait m\u00eame saisi les avoirs de Perenco – ce qui va co\u00fbter au gouvernement actuel un demi-milliard de dollars, un tribunal d’arbitrage vient de trancher en faveur de la compagnie franco-britannique.<\/p>\n\n\n\n


La lib\u00e9ralisation du secteur p\u00e9trolier \u00e9quatorien se poursuit avec l’annonce, ce mardi, de la fin des subventions sur les carburants.<\/p>\n\n\n\n

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