À l’issue de la finale organisée à Malmö en Suède le 11 mai, la Suisse est désignée vainqueure de l’Eurovision 2024. Une 68e édition qui n’échappe pas à son lot de polémiques avec, notamment, la participation d’Israël en plein conflit à Gaza.

Depuis quelques années, l’Eurovision est désormais entaché de polémiques. Cette fois-ci, pas de doigt d’honneur de désapprobation ou de suspicion de prise de drogue en direct. Bien qu’événement « apolitique », la guerre que mène Israël dans la bande de Gaza s’est invitée sur la scène du concours. L’Union européenne de radio-télévision (UER) a demandé à Israël de revoir les paroles de sa chanson interprétée par Eden Golan pour le concours, car elle faisait des références trop appuyées à l’attaque du 7 octobre menée par le Hamas et qui a fait 1 200 morts.

De nombreuses voix se sont élevées contre la présence d’Israël à l’Eurovision, à commencer par celle du public qui a hué Eden Golan lors de sa prestation en direct. À Malmö, ville hôte du concours, une grande manifestation pro-palestinienne s’est déroulée le 9 mai dernier, rassemblant plus de 12 000 personnes.

Plusieurs pays participants ont également montré leur désapprobation comme l’Espagne, l’Irlande, la Finlande ou la Norvège. Mais la France et l’Allemagne ont quant à elles fustigé les protestations contre la participation d’Israël. D’autres ont pointé l’hypocrisie de l’UER, qui a maintenu la participation d’Israël au concours malgré la guerre contre Gaza, alors que l’organisation avait exclu la Russie au motif de la guerre en Ukraine.

Une unité qui vole en éclats

D’autres polémiques ont éclaté en marge du concours. Le représentant des Pays-Bas a été exclu de l’Eurovision pour avoir eu un comportement hostile envers une photographe. Surnommée « la Sorcière », l’artiste irlandaise Bambie Thug a maintenu sa présence à la finale du concours malgré l’appel au boycott lancé par plus de 400 personnalités irlandaises. Face aux critiques, elle a rappelé qu’elle soutenait la cause palestinienne.

Malgré les remous, l’UER a tenté cette année de faire bonne figure. Mais si le slogan de l’Eurovision « United by music » (« unis par la musique ») a été martelé tout au long de la compétition, l’unité recherchée a, quant à elle, bien volé en éclats.

Gressier: Le porte-parole du syndicat de la PNH dénonce l’inaction de Frantz Elbé

Le désarroi qui règne à Gressier depuis hier soir appelle le représentant du Syndicat de la Police Nationale Haïtienne, Garry Jean-Baptiste, à exiger la démission du Directeur Général Frantz Elbé.

  1. Jean-Baptiste dénonce fermement le DG Elbé et son équipe pour leur inaction face à la dégradation continue de la police nationale.

« Sans moyens pour protéger plus de 25 commissariats, sous-commissariats et postes de police, les autorités risquent de se rendre complices du contrôle exercé par les bandits », a déclaré le syndicat dans un tweet mettant en évidence l’impunité et le laisser-grennen dénonçant, entre autres, que « les attaques répétées contre les commissariats restent impunies, créant un climat d’insécurité généralisé ».

De plus, font remarquer des internautes, Haïti est l’un des rares pays au monde où un chef de police, après l’évasion spectaculaire de plusieurs milliers de prisonniers prison centrale, conserve son poste comme si rien ne s’était passé.

La folie Messi à Montréal.

Il y a de la fébrilité de l’air depuis vendredi soir, où la vedette a été aperçue pour la première fois dans la ville devant l’hôtel du Ritz-Carlton. C’est l’endroit où restera son équipe, l’Inter Miami CF. Des dizaines de personnes étaient présentes pour le repérer.

Dans les magasins de sport, des centaines d’objets à l’effigie de la vedette sont mis en vente et partent comme des petits pains chauds. Des ballons, des pyjamas pour enfants, des chandails de sport aux couleurs de l’équipe de Miami sont parmi les produits populaires.

Quelques heures avant le match, de nombreux fans étaient déjà au Stade Saputo. «Mes gars ont réussi à avoir 3 billets pour 800$ sur les sites de revente, explique un père de famille. Ils sont vraiment contents, ils ont dit que ce sera le plus beau jour de leur vie».

Pour voir Messi au stade Saputo pour ce match FC Montréal-Inter Miami il faut payer entre 350 et 10 000 dollars.

Crédits-Photos: La libre Belgique, le Nouvelliste et Times Of Malta.