“En tant qu’Américains, nous faisons beaucoup d’affaires en Chine. Ils connaissent et comprennent nos valeurs et nous comprenons leurs valeurs. La liberté de parole est l’une de nos meilleures valeurs. Nous avons le droit de dire ce que nous voulons et de dénoncer les injustices. C’est ainsi que ça se passe. Si les gens ne le comprennent pas, c’est leur problème”, a d’abord argué O’Neal sur TNT, chaîne pour laquelle est consultant.
“Daryl Morey a eu raison. Chaque fois qu’on voit quelque chose qui ne va pas dans le monde, on devrait avoir le droit de dire que ce n’est pas bien. Et c’est ce qu’il a fait”, a poursuivi le “Shaq”, tout en reconnaissant que “quand il s’agit de faire des affaires, il faut parfois marcher sur la pointe des pieds”.
En s’exprimant de la sorte, l’ancien pivot All-Star des Lakers se range derrière Morey mais également Adam Silver, le grand patron de la NBA qui a refusé de présenter ses excuses pour le tweet du dirigeant des Rockets et de le sanctionner, malgré les conséquences financières fâcheuses de ce schisme.
Déterminé à soutenir “la liberté d’expression”, Silver a déclaré la semaine passée que des représentants du gouvernement chinois et des dirigeants d’entreprise avaient réclamé le licenciement de M. Morey.
Pékin a fermement démenti ces accusations et en réaction, la télévision CCTV a accusé M. Silver de “gourou de la NBA” et “d’inventer des mensonges pour salir la Chine” lui prédisant “un châtiment tôt ou tard”.
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