L’Inter Milan ne fera pas appel de sa condamnation à jouer deux matches à domicile à huis clos. En décembre dernier, des cris racistes à destination d’un joueur adverse sénégalais avaient amené la Ligue italienne de football à infliger cette sanction.
L’Inter Milan a accepté de disputer deux matches à domicile à huis clos et ne fera donc pas appel de la décision de la Ligue italienne de football lui infligeant cette sanction à la suite de cris racistes ayant visé le défenseur sénégalais de Naples, Kalidou Koulibaly, et d’autres “chants insultants”, le 26 décembre.

Deux matches à huis clos. Le club milanais a demandé, dans le même communiqué, à la Fédération italienne de l’autoriser à inviter des écoliers locaux à son match de Série A contre Sassuolo, le 19 janvier. Son stade sera fermé dimanche, 13 janvier, lors d’un match de Coupe d’Italie face à Benevento.

Des cris de singe. Lors du match du 26 décembre, remporté 1-0 par l’Inter Milan, Koulibaly a été la cible de cris de singe à plusieurs reprises, notamment au moment de son exclusion pour un deuxième carton jaune. L’Inter a également été sanctionné d’un huis clos partiel concernant seulement “le deuxième anneau vert”, c’est-à-dire le Virage Nord, où sont installés les principaux groupes de supporters du club nerazzuro.