Football: Le top 6 des footballeurs haïtiens les mieux payés. Un million d’hectares de terres bientôt semés et cultivés par l’Iran au Venezuela.

Même s’ils ne sont pas encore dans la catégorie des grandes stars internationales du football, les grenadiers sont de plus en plus présents au sein des clubs à l’étranger.

Grâce à ces nouvelles opportunités, les joueurs haïtiens voient leur salaire adopter une tendance à l’amélioration.

A partir des données de Transfermarket.com, Inside Caribbean Football a dressé la liste des 6 haïtiens les mieux payés dans le monde du football.

1.- Frantzy Pierrot (1,80 M Euros)

Frantzdy Pierrot, né le 29 mars 1995 au Cap-Haïtien à Haïti, est un attaquant du club israëlien, Maccabi Haïfa.

2.- Carlens Arcus (1,80 M euros)

Carlens Arcus, né le 28 juin 1996 à Port-au-Prince joue au poste d’arrière droit au Stichting Betaald Voetbal Vitesse des Pays-Bas.

3.- Duckens Nazon (1 M euros)

Une des stars les plus adulées du football haïtien de sa génération, Duckens Moise Nazon (The Duck), né le 7 avril 1994 à Châtenay-Malabry, est un attaquant du lcub de la Bulgarie, CSKA Sofia.

4.- Derrick Etienne (0,80 M euros)

Né le 25 novembre 1996 en Virginie, aux États-Unis, le grenadier Derrick Etienne joue au poste de milieu de terrain au Columbus Crew, en MLS (États-Unis).

5.- Stéphane Lambese (0.50 M euros)

Fils d’une haïtienne et d’un footballeur guadeloupéen, Stéphane Lambèse, né le 10 novembre 1995) devient international haïtien le 8 septembre 2015, en rentrant en jeu face à l’équipe de Grenade puis participe à la Copa America 2016.

6.- Ricardo Adé (0,50 M euros)

Né le 21 mai 1990 à Saint-Marc, Ricardo Adé évolue au poste de défenseur au sein de SD Aucas en Équateur.

Un million d’hectares de terres bientôt semés et cultivés par l’Iran au Venezuela

Caracas ne s’est pas encore exprimé sur la question, mais les propos du vice-ministre iranien des Affaires économiques sont repris dans la presse officielle vénézuélienne.

Un million d’hectares de terres seront donc bientôt semés et cultivés par l’Iran au Venezuela. Téhéran souhaiterait y planter du soja et du maïs et s’enthousiasme des atouts du Venezuela, par rapport au Brésil ou à la Russie, pour assurer sa sécurité alimentaire.

C’est au mois de juin que l’accord semble avoir été conclu, après une visite du président Nicolas Maduro à Téhéran.

Les deux pays avaient annoncé avoir signé un accord de coopération stratégique de vingt ans « dans tous les domaines », de l’énergie à la Défense en passant par le tourisme, sans pour autant entrer dans les détails.

Les relations bilatérales entre l’Iran et le Venezuela étaient déjà étroites sous le gouvernement d’Hugo Chávez. Elles se sont encore renforcées sous Nicolas Maduro pour surmonter les sanctions occidentales qui touchent les deux alliés.

En 2020, l’Iran était venu au secours de Caracas, avec deux cargaisons de carburant, pour l’aider à faire face à des pénuries.

D’autres pays se sont montrés intéressés par ces terres agricoles. Le ministre turc de l’Agriculture était par exemple en visite de prospection la semaine dernière dans le nord-est du Venezuela.