Les régions de Milan, Naples et Rome sont particulièrement touchées par le rebond de contaminations. Et les indicateurs sanitaires se détériorent partout.
D’où un nouveau décret présenté par Giuseppe Conte qui portait un masque chirurgical : « Nous ne pouvons pas perdre de temps. Nous devons agir en mettant en œuvre toutes les mesures nécessaires pour conjurer un nouveau confinement général qui finirait par compromettre sévèrement tout le tissu économique du pays. »

Parmi les principales mesures, le décret prévoit davantage de marges de manœuvre pour les maires de toutes les villes qui pourront instaurer des couvre-feux partiels. Les restaurants devront fermer à minuit et n’accueillir que six personnes par table. Les bars, sans service de restauration, devront fermer de 18h00 à 5h00 du matin.

Guinée : Alpha Condé brigue un troisième mandat contesté

Même si le vote se déroule sur toute l’étendue du territoire national, de 8h à 18h, les Guinéens de la diaspora seront nombreux à ne pas pouvoir s’exprimer. Ils voteront dans seulement onze ambassades et consulats en Afrique, selon une source à la Commission électorale nationale indépendante (Céni). Ce ne sera pas le cas au Sénégal ou encore en Angola, deux pays où résident nombre de ressortissants guinéens.

Le principal enjeu de cette élection, c’est la reconduction d’Alpha Condé pour un troisième mandat, ou l’alternance à la tête du pays. Cette bataille, le chef de l’État, qui a fait modifier la Constitution lors d’un référendum controversé pour pouvoir se représenter, espère l’emporter dès le premier tour, par un nouveau « coup KO », comme il l’avait théorisé en 2015.

Décapité pour avoir montré à ses élèves des caricatures de Mahomet

Selon une source policière, la victime, un professeur d’histoire du collège du Bois-d’Aulne à Conflans Sainte-Honorine, avait montré récemment à ses élèves des caricatures de Mahomet en cours.

Le parquet national antiterroriste a annoncé à l’AFP s’être immédiatement saisi de l’enquête, ouverte pour « assassinat en relation avec une entreprise terroriste » et « association de malfaiteurs terroriste criminelle ».

Les investigations ont été confiées à la Sous-direction antiterroriste (Sdat) de la police et à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).